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* Ralentir la vitesse de descente freine le phénomène mais induit un rallongement de la décompression.
* Ralentir la vitesse de descente freine le phénomène mais induit un rallongement de la décompression.
* En plongée professionnelle, la maîtrise de ce risque a été résolue par l’utilisation de l'hydréliox.
* En plongée professionnelle, la maîtrise de ce risque a été résolue par l’utilisation de l'hydréliox.
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Version du 5 octobre 2008 à 15:06

Le SNHP (Syndrome Nerveux de Hautes Pressions) décrit en 1969 par le Dr Xavier Fructus est une pathologie neurologique de la plongée à l’Héliox (plus rarement au Trimix) qui ne s’observe qu’à partir de 180m de profondeur (selon les individus).

La vitesse de descente est également liée à ce phénomènemais c’est principalement l’Hélium qui à forte Pression partielle susciterait une hyper excitabilité des certaines fibres nerveuses. Selon Pascal Bernabé, lors d’une descente à 330m à une vitesse 20m/minutes, les premiers symptômes sérieux ont ressenti à 260m de profondeur, ils ont été les suivants :

  • Des tremblements des extrémités puis des membres puis du tronc.
  • Des troubles de la vision.
  • Gros Problèmes de concentration s’amplifiants avec la profondeur.

Ses symptômes ne l’ont pas quitté à la remontée avant 120m.

  • Un apport d’Azote (Un rinçage pulmonaire au Trimix) permet de masquer ces symptômes.
  • Ralentir la vitesse de descente freine le phénomène mais induit un rallongement de la décompression.
  • En plongée professionnelle, la maîtrise de ce risque a été résolue par l’utilisation de l'hydréliox.


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