Différences entre les versions de « Les profils en Yo-yo »

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Tous les spécialistes sont unanimes : le profil en [http://fr.wikipedia.org/wiki/Yo-yo Yo-yo] (descendre et remonter successivement) est très néfaste.  En spéléo ce risque est très présent du fait de la topographie erratique des cavités souterraines avec des siphons successifs qui obligent des changements constants de profondeurs. La plongée en Yo-yo génère beaucoup de petites bulles et peut provoquer des catastrophes physiologiques.  
Tous les spécialistes sont unanimes : le profil en [http://fr.wikipedia.org/wiki/Yo-yo Yo-yo] (descendre et remonter successivement) est très néfaste.  En spéléo ce risque est très présent du fait de la topographie erratique des cavités souterraines avec des siphons successifs qui obligent des changements constants de profondeurs. La plongée en Yo-yo génère beaucoup de petites bulles et peut provoquer des catastrophes physiologiques.  


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La décompression devient un véritable risque. On utilisera des mélanges suroxygénée dont la PpO2 doit être la plus proche de 1.5 bar pour optimiser la désaturation et durant de nombreuses heures.
La décompression devient un véritable risque. On utilisera des mélanges suroxygénée dont la PpO2 doit être la plus proche de '''1.5''' bar pour optimiser la désaturation et durant de nombreuses heures.

Version du 25 septembre 2009 à 13:01

Tous les spécialistes sont unanimes : le profil en Yo-yo (descendre et remonter successivement) est très néfaste. En spéléo ce risque est très présent du fait de la topographie erratique des cavités souterraines avec des siphons successifs qui obligent des changements constants de profondeurs. La plongée en Yo-yo génère beaucoup de petites bulles et peut provoquer des catastrophes physiologiques.


Les bulles libérées dans le sang lors de la remontée s'accumulent dans les capillaires des poumons. Le fait de redescendre va augmenter la pression absolue, réduire le volume de ces bulles au point de les pousser plus loin, dans le circuit artériel, vers le cœur qui va les propulser dans l'aorte. C'est là que se trouvent les entrées des carotides, les artères qui irriguent le cerveau...


La décompression devient un véritable risque. On utilisera des mélanges suroxygénée dont la PpO2 doit être la plus proche de 1.5 bar pour optimiser la désaturation et durant de nombreuses heures.